3 - SECRETS HEIONIENS

Voici le troisième des trois volumes écrits par Mary Smith sur la région de Heion.

Mary Smith est née dans le petit village d'Alexandria. Presque coupée du reste de la région en raison de l'emplacement de son village natal, elle a décidé un jour d'en sortir et d'explorer le reste de la région. Elle s'était tellement ionnée de découvrir autant de choses qu'elle a poussé encore plus loin en devenant chercheuse et enquêter sur l'histoire, les légendes et les secrets de Heion. Des années après, Mary Smith a décidé de mettre sur papiers toutes ses découvertes sur la région de Heion.

Ce volume traite des secrets de la région de son début jusqu'à aujourd'hui.

Il est déconseillé d’utiliser l’outil internet pour une immersion plus authentique. Si vous avez besoin d’aide, ez l’éditeur.

MUSIQUE : ENIGMA

Dans la légende du Funeste Destin, nous ignorons le nom de famille d’Agatha et la raison de pourquoi elle ne l’a pas révélée. Pourtant, nous pensons qu’il est possible de répondre à cette première question. Et cela, grâce des runes gravées dans le bois d’une vieille batisse brulée qui date de plusieurs centaines d’années et que nous supposons être sa maison.

Avant de périr sous les attaques de Galar, les vikings ont caché dans la région de Heion un grand trésor qui résultent de leurs nombreuses conquêtes. Malheureusement, celui-ci n’a jamais pu être trouvé et le seul indice qui pourrait nous mener à lui est ce drôle de cadrillage. Il est fort probable que le trésor soit aujourd’hui désagrégé mais le trouver résoudrait un grand mystère de l’Histoire.

L’autrice a laissé une note vocal exprimant ses recherches et questionnements.

SOURCE : ENR 242

Gravé sur un pillier de l’île de Yuma, nous avons retrouvé une étrange note avec comme titre le mot « Avocat ». Il est probable qu’il s’agisse d’un mot du Shogun d’après la typographie utilisée. Néanmoins, quelque chose ne semble pas correspondre, puisque, à cette époque, malgré les nombreux voyages du Shogun, il n’est pas possible de déterminer si celui-ci connaît le fruit nommé « avocat » et ce métier du même nom intraduit dans sa langue natale à l’époque.

D’après la légende familiale des Basker, la Banshy tuerait une fois par siècle un membre de la famille. Lors de celui-ci, Henry Basker fut la cible. Néanmoins, à sa mort, une lettre fut retrouvée dans ses affaires. Peut-être que le code de trévanion a été utilisé mais, de quelle manière ?

#nouveaulore